Suite.
Je relis les lignes de mon précédent post.
Je reconnais mon optimisme aliéné, envers et contre tout, qui me fait souvent nager dans des eaux illusoires, voire croupissantes au fil du temps.
J'avais oublié que je ne sais pas très bien nager.
Qu'il faut de la volonté pour s'immerger totalement.
Que ma tendance naturelle c'est de faire la planche. Ou de me laisser flotter la face dans l'eau jusqu'à ne plus respirer.
Puis dans un sursaut j'ai attrapé un poisson. J'ai dû plonger dans le fond pour qu'il vienne jusqu'à moi. Nous avons joué un moment ensemble, dans le rôle et l'illusion, en pleine conscience de notre absurdité. Il a choisi de plonger plus profond encore. Parenthèse.
Bref.
Petite remise en cause, il y a un peu trop d'algues et de têtards autour de moi, il faudrait peut-être me remettre à nager ?
Et atteindre le nénuphar...